Garde-prison

es plaintes des prisonniers s’entendent avant d’être couvertes par le pas lourd de l’épaisse carcasse tout d’armure vêtue. Les gardes-prison ferment bien souvent la marche d’un convoi de l’armée scalderoviane. Plus grands que le plus grand des hommes et aussi larges que deux barils de vins, ces armures vides sont des visions d’effroi pour qui les aperçoit.

Elles transportent prisonniers de guerres, malfrats malchanceux et assassins oubliés, les condamnant à un périple incessant jusqu’à ce que la mort vienne les délivrer.